Du à des imprévus familiaux et techniques, il m’est plus compliqué qu’à l’habitude d’avoir accès à une connexion internet. C’est en grande partie la raison pour laquelle je ne suis pas aussi assidue que j’aimerais l’être avec les Cartes de la semaine…
La carte que j’ai pigée ce matin pour nous accompagner en cette semaine du 23 février au 1er mars 2015 est celle Le Cheval, tirée du tirée du jeu Les Cartes Médecines deJamie Sams et David Carson. Si vous lisez ces lignes, c’est qu’elle s’offre à vous!
Cette semaine le Cheval nous parle d’allègement, de route et d’équilibre.
Solidement enraciné et parcourant la Terre grâce à ses quatre puissantes jambes, le Cheval nous parle de liberté. Liberté de mouvement, liberté d’être, liberté d’expression.
Son hennissement se rend jusqu’aux oreilles de notre propre cheval intérieur. Comment ce dernier réagit-il ? Piaffe-t-il ardemment dans son box ou son enclos, demandant qu’on lui ouvre la porte ? Répond-il aux hennissements de ce Cheval sauvage qui parcourt la Terre depuis la nuit des temps ? En a-t-il peur, se demandant ce qu’il l’attend si il sort de son enclos doré ?
La médecine du Cheval nous invite à renouer avec notre véritable Soi, à nos désirs profonds et à notre intuition. Il nous rappelle l’importance d’avancer notre chemin et de le faire joyeusement, la crinière au vent ! Peut-être aussi nous suggère-t-il d’avancer dans une nouvelle direction ?
À nous de voir…
Le Cheval nous invite à nous alléger. Plus notre bagage est léger, plus nous pouvons parcourir de chemin à chaque jour, à chaque randonnée et plus nos pas seront eux-aussi légers. Un bagage lourd rend le pas plus ardu. Même pour un cheval…
Le Cheval nous demande de respecter nos propres limites. Notre énergie a besoin d’être renflouée. Connaissons nos besoins et veillons à les remplir. Si je parcours quotidiennement un nombre de kilomètres raisonnable avec ma monture et que repos, hydratation, alimentation et autres besoins sont assurés et offerts à temps, je pourrai aller plus loin jour après jour en me sentant fraiche et pimpante.
Si je monte un cheval calme et reposé, l’expérience est agréable. Par contre, si mon cheval est nerveux et fatigué, la chevauchée devient plus dangereuse…
Bien qu’un cheval peut être bien avec le fait d’être dans une écurie pour de courtes périodes de temps, il a aussi viscéralement besoin de sortir galoper librement, de sentir le vent dans sa crinière afin d’être de service pour son cavalier.
À quand remonte la dernière fois où votre cheval a galopé librement ?
À nous de choisir. De quelle façon pouvons-nous tirer le maximum de notre expérience de vie ?