Depuis de nombreuses semaines je sens qu’un changement s’approche. Je le sens mais je ne le vois pas encore. Comme si un brouillard tardait à se lever.
En fait, ce brouillard est parfait et est sûrement là pour une bonne raison.
Quoi de mieux pour inciter mon impétuosité à se calmer le pompon le temps que je reprenne mon souffle et, surtout, le temps que toutes les pièces nécessaires soient en place. (Même si je n’ai présentement AUCUNE idée de ce que sont ces pièces et encore moins leur place!!!!)
Alors je me concentre sur ce qui est devant moi, dans cet espace sans brouillard, tout en demeurant à l’écoute des murmures et frémissements qui parviennent jusqu’à moi. Je m’ouvre à tous les possibles.
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