Ce n’est que plus tard que je réaliserai que, sans m’en rendre compte, j’avais commencé à considérer mon tambour comme un outil de travail au lieu de l’outil sacré et personnel qu’il est. Que je n’écoutais plus ses murmures aussi attentivement qu’avant. Que je nous tenais pour acquis afin de venir en aide aux autres.
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