Il y a quelques semaines un conte s’est doucement infiltré dans mon imaginaire et demandait à être partagé. Tout d’abord publié dans l’infolettre, depuis le début de la semaine je le sens s’installer ici sur le blogue.
Cette image qui m’habitait est celle d’un bateau enveloppé dans un grand banc de brouillard presque palpable. Un brouillard si dense que le capitaine comprend rapidement que de continuer de naviguer serait mener bateau et équipage à leur perte. Il ordonna donc d’affaler les voiles et de mouiller l’ancre.
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